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24 janvier 2024

des discours politiques pas toujours très catholiques

Moi, Éric Les Zamours, je vous rappelle que quelque chose ne va pas dans la présidence de Macron, cette espèce de zéro à propos duquel on n’a qu’une envie : faire échec et mat. Ce n’est qu’un zouave qui se prend pour Dieu parce qu’il a réussi ses études d’algèbre et parce qu’il connaît bien les chiffres, il n’y a pas de hasard et en plus, avec son clébard de Gabriel, ce premier ministre de la jaquette, on sait tous que ça va être le gourbi. Ils n’ont qu’à mettre des jupes, ça sera kif-kif. Avec eux, la fin du quinquennat ne va pas être coton. Et même s’ils mangent des épinards, on sera plus fort qu’eux. Ah les lascars, ils ne passeront pas la douane du peuple. Ils nous feraient prendre des bananes pour des nénuphars mais on n’est pas nés de la dernière pluie. On ne veut pas se faire niquer.

Macron n’est pas un marabout. C’est une momie à la solde de l’Europe. Il a cru pouvoir faire une razzia sur les français en leur servant du sirop à longueur de discours mais en magasin, il n’a rien. À part l’alcool qu’il fabrique avec son alambic pour s’auto-enivrer. Il n’a rien d’un caïd mais il a tout du camelot. On va le laisser en carafe. Et sa matraque ne nous pénètrera pas. Son objectif ? Mutiler la France à coups de tambours. Moi, Éric Les Zamours, je suis le toubib pour la France. Avec moi, notre nation retrouvera sa place au zénith. Notez dans vos almanachs de bien voter pour nous. Un baroud d’honneur nous attend. Allumons des bougies pour éclairer notre pays. Laissons les cafards s’entretuer. Ils sont un fardeau mesquin dont il faut se débarrasser fissa. Vive la République. Vive la France.

Moi, Mathilde Panneau, je vous rappelle que du brouhaha du nouveau gouvernement, il ne reste déjà plus qu’un capharnaüm. Macron se prend pour le messie et Gabriel Attal pour un séraphin ou un chérubin. Ce sont deux Judas macabres, sodomites et onanistes. Des suppositoires de Satan. Oui, des suppôts de Satan, c’est ce que j’ai dit, non ? Mais tous ces abbés de la finance ne cherchent qu’à faire du tohu-bohu social. Ce sont deux chameaux. Deux gouines jacobines entourées d’une mosaïque de  mystères. Ils font du travail d’arabe. Votez pour nous et abracadabra, ils disparaîtront. Euh, Éric et Mathilde ? Ouais ? Vous devriez faire attention en écrivant vos discours. Hein ? Oui, parce que tous les mots en italiques d’origine arabe pour Éric et d’origine hébraïque pour Mathilde. Ah, putain, les enculés ! 

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M
Excellent 👏
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