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9 janvier 2020

dans mon entourage, il y en a 4, des Carlos

Dans mon entourage, j’avais déjà 3 Carlos, plus ou moins proches mais depuis aujourd’hui, conférence de presse oblige (je devais parler aux journalistes mais un autre mec m’a grillé la priorité, alors, comme il était plus fort, plus vieux et plus riche que moi, je l’ai partiellement écouté mais je n’en ai pas pensé moins…) Ces trois premiers Carlos, du plus lointain au plus proche, c’est le mari de l’ex-femme de ménage du patron. Un bonhomme qui vient du Portugal, qui parle à peine le français et qui est petit et rond comme une boule de bowling (avec trois trous pour mettre les doigts dedans ?) et, cliché obligé, beaucoup, beaucoup, beaucoup de poils. Il n’y a pas de honte à cela.

En deuxième position, il y a mon coiffeur, rue Costedoat, le gentil Carlos, probablement aussi poilu que le précédent mais là, je n’ai pas pu le vérifier moi-même vu que, contrairement au précédent, je ne l’ai jamais vu en tenue d’été débraillée mais si je sais qu’il est velu (merci d’être velu !), c’est parce que c’est lui-même qui me l’a dit. Je l’aime bien. Il me coiffe bien. Il est sympa. Et il est abonné à plusieurs magazines pour son salon de coiffure uniquement pour hommes, dont Géo et ça, c’est un gage de qualité, non ? Et puis même si je ne connais pas sa femme, il m’en parle de temps en temps et je pense que je l’aimerais bien, elle aussi, si je la rencontrais, si je la connaissais, peu ou prou.

En troisième, il y a Carlos, mon coach sportif. Mon entraîneur personnel. Celui qui me fait bander mes muscles et qui me les rend douloureux parfois. Surtout au bout de cinq ou six semaines sans être allé travailler à ses côtés. Il n’est pas portugais, celui-ci. Il est donc l’exception qui confirme la règle. Il vient du Brésil, il a un accent prononcé mais ça lui donne du charme. Allez, une minute de pause et ensuite, on reprend. Et enfin, en quatrième, il y a Carlos Ghosn, le nouveau James Bond du CAC40. Je ne sais que penser de lui. Dit-il la vérité ? Ment-il ? J’ai juste envie d’ajouter un cinquième Carlos, pour le chiffre impair : celui qui faisait tirelipimpon sur le chihuahua. Lui, il disait la vérité.

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