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18 avril 2017

mardi, lendemain de lundi férié, à J moins 5

Finalement, j’aime beaucoup les mardis, lendemains de lundis fériés. Parce que ce sont des mardis moins ordinaires. Des mardis qui sentent moins le stress et l’abattement. Parce que, quand on y regarde de plus près, compte tenu que là où je travaille, il ne s’est rien passé pendant la nuit fériée, je viens pour bosser mais beaucoup moins que d’habitude. Travailler moins pour gagner plus ? Waow, voilà de quoi faire pâlir certains candidats à l’élection présidentielle. Et en faire sourire d’autres. Je pense à Philippe Poutou et à Nathalie Arthaud.

Mais c’est idiot, maintenant que j’ai cité ces deux noms, je vais être obligé de nommer tous les autres. Équité oblige. Foutaises médiatiques mais bon, sinon, est-ce que je risque une amende ? J’aime autant ne pas en prendre le risque. Alors, je m’engage à parler des neuf autres avant la fin de ce billet. Et pas seulement en les listant, non, en les intégrant à mon texte. Intégrer, voilà bien maître mot que ne doit pas aimer Marine Le Pen. Mais que Jean-Luc Mélenchon doit l’avoir dans sa besace. À moins que ça ne soit Benoît Hamon.

Je disais donc que j’aime bien les mardis quand ils sont lendemains de lundi fériés. Ça m’a permis de faire grasse matinée : en effet, je me suis levé à 4h45 au lieu de 3h et j’ai commencé mon boulot à 5h15 au lieu de 3h30. Et j’ai pu mettre la pédale douce, juste terminer ce que je n’avais pas fait samedi en prévision de ma venue d’aujourd’hui. Comme une étoile filante dans le ciel. Dans les astres. Que doit scruter Jacques Cheminade. Et dans lequel surnage Jean Lasalle du haut de son presque double-mètre. Et ensuite, je suis allé nager à la piscine du Grand Parc.

Et j’en suis revenu crevé. Finalement, nager, c’est toujours dans une position horizontale mais c’est loin d’être reposant. Aujourd’hui, j’ai augmenté ma cadence : j’ai fait quatorze longueurs au lieu de dix, samedi dernier. Nager plus pour être plus fatigué. Est-ce ça aurait pu être un slogan de François Fillon ? Pourtant, je vous jure que les 14 longueurs que j’ai faites ne sont pas fictives. Alors, je suis rentré chez moi et en attendant le président qui était chez sa kiné, je me suis allongé sur le canapé et je me suis presque endormi.

Entre temps, j’ai déjeuné et ensuite, je suis retourné sur le canapé et là, j’ai visionné un documentaire sur Barbra Streisand et là, replié sur moi-même, j’ai mieux étendu mes jambes. Je n’ai pas eu envie qu’on pense que j’étais du côté de François Asselineau. Je n’avais plus beaucoup de possibilité. Je n’aime pas beaucoup les présidents prénommés Nicolas, tant pis pour Dupont-Aignan et je me suis dit que, en même temps, Emmanuel Macron allait bien s’en sortir, sur ce coup-là parce que j’étais trop crevé pour trouver une vanne sur lui. 

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