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12 avril 2016

ce que je voudrai dire, demain

Quand on écrit tous les jours dans un blog, en tout cas, dans le mien (de cas), on écrit toujours sur ce qui s’est passé, rarement sur des choses qu’on aimerait qui se passent mais jamais, au grand jamais sur ce qui va se passer, je veux dire, ce dont on est sûr que ça va se passer. Je ne parle pas au conditionnel mais bel et bien au futur de l’indicatif. Alors, aujourd’hui, mardi, je vais parler de ce qui va se passer demain, mercredi. Ou pas.

Oui, après tout, peut-être que je ne parlerai pas de ce qui va se passer demain si jamais je suis encore sous le coup d’une digression incontrôlable qui me permet de faire des phrases et des phrases qui elles-mêmes forment un paragraphe puis un autre et encore un autre et le tout, ça fait un billet qui est publié en général dans l’après-midi, entre le repas et le cours de gym ou la sieste ou une visite au patron, selon les jours. Quand je ne vide pas l’appartement.

Demain, je serai manipulé par un kinésithérapeute que je ne connais pas mais dont on m’a dit grand-bien. Je suis allé rompre avec celui que je connaissais d’avant, de quand j’ai eu ma fracture d’épaule droite, il y a quelques années et ma foi, je suis content de l’avoir quitté car même si ça ne s’est jamais mal passé, je ne prenais aucun plaisir à aller chez lui. Je n’aimais même pas ça du tout. Quelque chose m’empêchait de me sentir bien, là-bas.

Demain, quand j’irai chez le nouveau kiné, si ça se trouve, avec ma peur du médecin ou celle du gendarme, je n’aurai peut-être plus mal du tout. En tout cas pas là où ça nécessitait presque le rendez-vous de toute urgence. Peut-être que ça n’est pas une sciatique mais juste un truc chiatique. J’ai mal à la fesse gauche et un peu dans l’intérieur de la cuisse du même côté. Alors, est-ce que ça pourrait-être autre chose ? Nous le saurons demain.

Pour l’heure, compte tenu que je n’ai pas très bien dormi car ma fesse gauche a pris toute la place dans le lit, cette nuit, pour l’heure, je pense que je vais accompagner mon père par la pensée en allant fermer les yeux. Mais pas étendu sur mon lit, non, allongé sur le canapé, j’aime mieux. Et à distance, nous arriverons peut-être à faire la sieste en même temps. À défaut de la faire ensemble. Et je serai peut-être un peu plus en forme, après ça.

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