mais ce n’était pas mon anniversaire, hier !

Mais, Stéphane, ce n’était pas mon anniversaire, hier ! Pourquoi tu as écrit ce billet-là « pour ton anniversaire » ? C’est gentil et d’ailleurs ça m’a vachement étonné parce que, après toutes les vacheries que tu as écrites sur moi, depuis le 20 juin, qu’est-ce que tu as pu être méchant, sur mon physique et sur mon métier et sur tout ce qui me concerne, en fait. Vraiment, je finissais par penser que tu n’étais que dans la critique et que rien de bon ne pouvait sortir de toi.

Mais qu’est-ce qui lui prend, à Jean-Michel ? Je ne lui ai jamais souhaité son anniversaire. Ni hier, ni un autre jour. De toute façon, comme il n’existe pas, je ne connais pas sa date de naissance. Même à supposer qu’il soit né en 1961, pour être plus jeune que moi mais paraître plus vieux, ça ne veut rien dire. Et si d’aventure, il existait et qu’il était vraiment né un 27 juin, ça serait un coup de pas de chance. Parce qu’il ne faut pas oublier que presque tout ce que j’écris, ici, c’est inventé.

Il n’y a quasiment rien de vrai dans ce que je raconte dans mon blog. Il ne peut pas y avoir quoique ce soit de vrai car je n’aime pas du tout me mettre en avant et je trouve que ma vie personnelle et mes idées ne regardent personne d’autre que moi. Alors, vous pensez bien que… Bref, pour en revenir à Jean-Michel, je ne sais pas pour qui il se prend, le prof de sports rectangulaire mais il a l’égo surdimensionné, en proportion de ses dimensions physiques. Le tout à l’égo, finalement.

Et quand je dis que je ne raconte jamais de choses vraies, ici, je vais vous en apporter la preuve : je ne suis pas né de la dernière pluie. Non, pardon, je ne suis pas né en décembre. Je suis né en juin et justement, ça tombe super bien parce que ce soir, je vais ouvrir une bouteille de champagne. J’en avais mis une au frais exprès car je ne voulais pas passer cet événement sous silence, ça n’avait déjà que trop duré. Depuis plus de six mois qu’on en parle mais qu’on ne voit rien venir.

Pour la peine, je me suis acheté un nouveau téléphone. Et un nouveau ventilateur de bureau. Une très jolie colonne très design et qui me rafraîchit bien les idées au fur et à mesure qu’elles sortent de mon cerveau. Et pour ce qui est de Jean-Michel, qu’il se le tienne pour dit, une bonne fois pour toutes : tu n’existes pas, mec, tu n’existes pas. Ce n’est pas la peine d’insister, je n’entrerai pas en contact avec toi, je n’aime pas les relations virtuelles. À bon entendeur, salut.