bouchon de bienvenue

Ça n’en a pas l’air mais je viens d’accueillir ma sept-centième abonnée. Et à cette occasion, j’ai eu envie de marquer le coup en l’honorant comme elle se doit. Non, non, vous avez bien lu, j’ai volontairement dit « comme elle se doit » et non pas, « comme il se doit », ce sera ma façon de voir si l’écriture inclusive a du sens ou non. L’unique fois où j’y succomberai. Je verrai en fonction de vos réactions mais si chacun de vous me dit ce qu’il-elle en pense, ça va me demander un certain temps pour dépouiller vos réponses à la question que je ne vous ai pas clairement posée. Ce préalable étant défini, je vais revenir à cette nouvelle abonnée qui me fait l’honneur de venir me lire. Bon, je l’avoue, ce n’est pas une inconnue pour moi puisque c’est Bouchon. Bien sûr, c’est un surnom, pas son nom.

Mais qu’elle se rassure, Christelle, je ne dirai pas comment elle s’appelle vraiment et comme je le lui ai précisé dans un SMS, avant-hier, dans mon blog, il n’y a aucune garantie de satisfaction et justement, aucun billet n’est repris ni échangé. Elle a quand même signé le contrat de lectrice abonnée. Pour l’instant, elle est à l’essai car si ça ne lui plaît pas, elle pourra malgré tout rompre dans les quatorze jours qui suivent depuis le 20, ce qui va donc nous mener au 34 mai 2021. Quand elle m’a dit que c’était un chouette cadeau d’anniversaire pour elle, que d’avoir le lien pour pouvoir me lire, j’ai pensé qu’elle exagérait un peu mais il semble que je me sois mis le doigt dans le nez. Mais était-ce bien mon doigt ? Et était-ce bien mon nez ? Tout d’un coup, un doute m’habite. Je me tâte…

Bref, comme je m’étais un peu trompé sur la date de son anniversaire, surtout qu’elle vient de faire ses cinquante ans (je sais, on ne dit pas l’âge d’une dame mais Bouchon, ce n’est pas vraiment une dame, c’est plus que ça et c’est même mieux que ça, c’est Bouchon !), je n’ai pas osé la contredire comme j’aurais pu le faire à un autre moment et j’ai validé le fait que pour elle, son anniversaire, ce n’est pas seulement le jour de sa naissance mais tout le mois de mai, aussi. C’est sans doute elle qui a le mieux compris que dans la vie, en mai, elle fait ce qui lui plaît, plaît, plaît. Pour conclure ce billet qui n’intéressera sans doute qu’elle, bienvenue à toi, Bouchon et pardon d’avoir utilisé ce surnom qui normalement, était réservé à qui tu sais. Tabernacle et Karibou ! Là encore, toi, tu vas comprendre.