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28 février 2021

sans adjectif

Tout le monde le sait, un adjectif est un mot qui permet de qualifier un substantif (que ce soit un nom commun ou un nom propre) et moi, personnellement, j’en utilise pas mal. Tout comme j’ai un peu tendance à abuser des adverbes et des synonymes (j’aime bien le principe de la répétition, désolé…) et donc, aujourd’hui, ça va être une première pour moi, je vais essayer d’écrire quelque chose sans me servir d’un seul adjectif et là, on va voir ce qu’on va voir. J’aime bien me lancer des défis, m’auto-toper et gagner. D’ailleurs, si je gagne, comme je viens de parier 100 euros, je me les devrai, ce qui est normal mais comme je suis aussi bon perdant que très bon gagnant, tout va bien dans le meilleur des mondes. Là, j’ai juste à écrire un texte avec des adjectifs et ensuite, sans adjectif.

Aujourd’hui, il y a eu un ciel bleu et un soleil brillant dans un ciel immaculé alors que vendredi dernier, ça avait été une journée grise, morne et froide. Et si je n’avais pas pu te voir comme nous l’avons fait, en début d’après-midi, j’aurais été triste et probablement très, très, très en manque. Je crois que j’aurais ruminé des pensées négatives et même mélancoliques. J’aurais eu des regrets incommensurables et je ne me le serais jamais pardonné. Car te voir me fait du bien, tu m’emplis de cette espèce de sérénité belle et bonne. Tu me fais don de moments tendres, doux et agréables sans oublier qu’ils me sont aussi utiles. Je suis donc plutôt heureux d’avoir vécu encore une parenthèse enchantée avec toi, un temps partagé, un moment de communion fusionnelle. Je te dis un grand merci.

Aujourd’hui, il y a eu un ciel d’azur et un soleil comme un mélange de diamants et d’or alors que vendredi, il y a deux jours, la journée a senti le renfermé, les frimas et la morosité. Et si je n’avais pas pu te voir comme nous l’avons fait, en début d’après-midi, j’aurais probablement ressenti du désarroi et probablement été très, très, très en manque de toi. Je crois que j’aurais ruminé mon désespoir et mon affliction. J’aurais eu des regrets en surnombre et je ne me le serais jamais pardonné. Car te voir me fait du bien, tu m’emplis de cette espèce de sérénité à la limite du divin et mon corps et mon cœur en redemandent. Tu me fais don de moments faits de tendresse et de douceur sans oublier que j’en ai besoin tout autant qu’envie. Je suis donc plutôt dans la joie d’avoir vécu cette parenthèse en forme d’idéal avec toi, un temps à deux, un moment de communion comme en osmose. Je t’aime.

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