Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
C'est écrit
29 octobre 2020

décidément, j’écrase tout sur mon passage

Décidément, je ne sais pas ce que j’ai en ce moment mais j’écrase tout sur mon passage. Bientôt, on va me surnommer Attila. Hein ? Je dis que bientôt, on va me surnommer Attila ! Hein ? Laisse tomber… Parce que non seulement, avant-hier soir, je me suis (involontairement) attaqué à un rat qui ne m’avait rien fait (si ce n’est de se trouver sous ma sandale droite – ou la gauche ?) à un moment où il n’aurait peut-être pas dû mais je ne suis pas à sa place, peut-être qu’il avait une bonne raison d’aller dans le local à poubelles, l’autre jour. Peut-être un sac de détritus à descendre, lui aussi. Ou alors, il venait faire ses courses. Il ne doit pas y avoir de confinement pour les rats, sur Bordeaux. Ni de couvre-feu. Donc, c’est normal qu’il sorte quand il en a envie. Ou quand il en a besoin.

Mais hier, j’étais loin de me douter que ce ne serait pas le seul animal que j’allais écrabouiller, cette semaine. Surtout en deux jours. Évidemment, je ne parle pas des insectes même si en ce moment, ma tapette à mouches et à moucherons est en chômage partiel car elle n’a rien à se mettre sous les dents… Non, je parle d’animaux un peu moins ailés. Des animaux qui marchent par terre, comme vous et moi. Tiens, d’ailleurs, ça me fait penser que quelqu’un a perdu un rhinocéros, à Bordeaux, l’autre jour. Comment ça, vous ne me croyez pas ? Il vous suffit de regarder l’affichette que j’ai photographiée pour bien me souvenir de la tête de l’animal, si jamais j’étais amené à le croiser, au hasard de mes nombreux déplacements piétons en ville voire, en tram. Je vous laisse regarder la photo.

perdu rhinocéros

Ça y est, vous me croyez, maintenant ? Eh bien figurez-vous que je n’y ai plus pensé, moi,  à cet avis de recherche. Parce que les probabilités que je croise ce gros animal cornu dans mes virées citadines étaient faibles. Oui, et bien si vous saviez, il ne faut vraiment pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Parce que je l’ai rencontré, le rhinocéros. Je l’ai bien reconnu avec sa tâche en forme de croissant, sur l’oreille. Le problème, comme je ne fais pas attention à ce que je fais ni à là où je marche, là où je mets les pieds, ce qui devait arriver, arriva : j’ai marché sur le rhinocéros et comme pour le rat, avant-hier, je lui ai écrasé la tête et il a mis une heure à mourir dans d’atroces convulsions. Je suis vraiment désolé pour le jeune Lucas, je ne l’ai vraiment pas fait exprès. En même temps, hein…

 

Publicité
Publicité
Commentaires
C'est écrit
Publicité
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 199 329
Archives
C'est écrit
Publicité