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24 août 2020

la beauté « droit dans les yeux »

Si je te disais que tu me manques, me croirais-tu seulement où penserais-tu que je suis encore à chercher à te titiller ? Eh bien non, figure-toi, tu me manques réellement et ce n’est pas parce que je peux te voir tous les jours (ou peu s’en faut) que je suis comblé. Ce ne sont ni la fréquence, ni la régularité, ni la quotidienneté d’une relation (en l’occurrence, la nôtre) qui font que l’on peut se sentir satisfait. C’est l’intensité qui compte. C’est ce qu’il y a dedans. C’est comme pour la beauté. La beauté, la beauté absolue, dit-on, c’est celle qui se trouve à l’intérieur et moi, j’ai envie de continuer de voir ta beauté à l’intérieur de toi. Parce que je ne m’en repais jamais. Parce que je ne peux pas m’en repaître. Parce que je t’aime tant que je ne pourrai jamais être autrement qu’insatisfait.

Si je te disais que j’ai très envie de tout, avec toi, me croirais-tu seulement ou penserais-tu que je suis encore à vouloir faire des effets de style comme si j’étais encore et toujours à tenter d’écrire le plus beau poème d’amour en prose qui soit ? Peut-être un peu des deux, mon cœur, peut-être un peu des deux. Mais si je suis comme ça, c’est évident que c’est parce que c’est toi, que c’est parce que c’est moi et surtout et avant tout, parce que c’est toi et moi. Ce toi et moi que j’aimerais encore plus grand, encore plus haut et encore plus fort. Prétentieusement, j’ai envie de dire que je n’ai jamais aimé comme je t’aime mais on n’aime jamais de la même façon, deux fois, ni trois, ni plus. Chaque amour est forcément différent du ou des précédent(s). Mais toi, tu es l’expression de l’amour absolu.

Si je te disais que je ne me lasse jamais de te regarder, me croirais-tu seulement ou penserais-tu que je suis encore à jouer le flatteur. Ou que j’ai besoin de nouvelles lunettes ? Quoi que tu en penses, mon ange, je ne me lasse jamais de te regarder. Même encore et encore. Même encore maintenant et même encore demain et même encore après-demain. C’est comme ça, tu me fascines par ta beauté. Tu es l’incarnation de la beauté. Et même dans un an, dans cinq ans, dans dix ans, je continuerai de t’admirer. Je n’y peux rien, c’est ainsi. C’est toi qui me rends comme ça. J’ai de la chance de te connaître. Et tu as de la chance car tu sais, je peux te le confier, j’ai regardé la beauté « droit dans les yeux » et devine qui j’y ai vu ? C’est toi. C’est bel et bien toi, dans toute sa splendeur.

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Commentaires
J
Oh! c'est beau....il ne faut jamais se lasser de le dire.
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M
❤️❤️❤️<br /> <br /> Je vais prendre cette déclaration d’amour comme si elle m’était adressé, c’est trop beau. <br /> <br /> Mon homme est parfait mais jamais il ne saura manier les mots comme ça .
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