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21 juin 2020

ce pauvre Jean-Michel !

Franchement, Stéphane, tu dis que tu n’es pas quelqu’un de méchant mais tu es loin d’être gentil et je pense que tu ne dois pas pouvoir te regarder droit dans les yeux devant une glace. Ça dépend si elle est à la vanille, au café ou au chocolat puisque je n’aime pas ce dernier. D’ailleurs, lui aussi, qu’est-ce qu’il t’a fait, le chocolat pour que tu sois aussi… pour que tu sois autant… que tu sois si beuark dès qu’il en est question ? Ce qu’il m’a fait ? Il ressemble à du caca et moi, je n’aime pas le caca. Oui, bon d’accord, je veux bien mais finalement, cette histoire de chocolat, c’est totalement hors sujet. Ce n’est pas moi qui en ai parlé le premier. Oui, je sais mais c’était juste pour illustrer mes propos. Pas tes propos, tes reproches. Appelle ça des reproches si tu veux mais sur un autre ton, alors, s’il te plaît !

Oui, franchement Stéphane, ce pauvre Jean-Michel, il m’a fait de la peine. Après avoir lu ton billet d’hier, je t’ai trouvé très, très, très méchant. Et pas seulement très, très, très méchant mais aussi super médiocre. Super lamentable. Je me demande même si tu n’es pas jaloux de lui, de Jean-Michel… Jaloux de Jean-Michel, moi ? Plutôt me faire prof de sports et prendre vingt kilos en une nuit ! Tu vois, tu recommences ! Comment ça, je recommence ? Tu redis des choses incroyablement désagréables sur ce pauvre Jean-Michel. D’abord, ce n’est pas moi qui ai commencé, aujourd’hui et ce qui s’est passé hier, ça n’existe déjà plus. Et ensuite, moi, hier, je n’ai jamais divulgué son prénom par respect pour lui. Parce que de nous deux, celui qui a le plus de respect pour lui, c’est évidemment moi.

À la différence de toi, je ne me serais pas permis de le jeter en pâture à ceux qui pourraient le reconnaître comme tu viens de le faire. Et qui sait si certain(e)s lecteurs et trices ne vont pas enquêter pour savoir de qui il s’agit réellement ? Comment veux-tu qu’ils fassent pour retrouver sa trace ? Il n’y a qu’à suivre les sillons humides qu’il laisse derrière lui, il doit forcément transpirer, vu son gabarit. Stéphane, ne redeviens pas comme hier, je te prie. Tu me pries ? Oui, je te prie. Eh bien, prie-moi, ça ne me fera pas de mal. Quoiqu’il en soit, moi, hier, je n’ai fait que dessiner un vaguer portrait de quelqu’un que je ne connais pas. Alors, si ce quelqu’un, qui n’existe peut-être pas, se reconnaît, c’est qu’il n’aura pas sa conscience tranquille. Comme son masque. Oui, c’est vrai qu’il lui va bien.

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