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4 mai 2020

dans le Berrrrrry (billet peu contaminé au Covid 19)

Aujourd’hui, ça va être un peu sans sujet particulier, un billet en forme de plusieurs petits billets pour parler de différentes choses qui n’ont rien à voir (en apparence) les unes avec les autres. Parce que quand on n’a pas l’inspiration des grands jours (ça m’est déjà arrivé, l’inspiration des grands jours ?), rien n’interdit de se laisser aller à écrire ce qui vient à l’esprit. Donc, ce matin, pas de choses spéciales en tête. Non, juste des émotions, des coups de cœur ou des coups de gueule. Et des mots qui se veulent jeux, de l’esprit qui se veut en traits et une putain d’envie de continuer comme hier : passer une partie de l’après-midi à venir dans mon fauteuil relax, sur ma terrasse, au soleil, encore au soleil et toujours au soleil. D’ailleurs, à ce sujet, j’ai une de ces lignes de démarcation, sur les cuisses… Couleur caramel au beurre salé jusqu’au niveau de là où mon short ne me protège pas.

Juste revenir un instant sur cet étrange 1er mai que nous avons vécu dans la pluie et dans le froid, comme un 1er novembre décalé de 6 mois. J’ai appris que certains syndicons avaient quand même tenu à être réunis en respectant la distanciation physique nouvellement obligatoire. Pendant le confinement, les revendications continuent car la connerie ne connaît ni la crise, ni ses limites. Et j’ai même vu Marine Le Pen aller vomir au pied de la statue de Jeanne d’Arc, à Paris. Pardon, j’ai dit une bêtise, j’ai vu Marine Le Pen aller déposer une gerbe au pied de la statue de Jeanne d’Arc à Paris. Je ne sais pas pourquoi Jeanne d’Arc, comme idole des extrémistes de droite. Pourquoi pas Pétain, plus tôt ? Moi, de toute façon, Jeanne d’Arc, si on me demande ce que j’en pense, je répondrai : pas grand-chose. Sauf qu’à mes yeux, elle n’est jamais qu’une mal baisée. Peut-être la plus grande.

Enfin, je voudrais faire un clin d’œil à quelqu’un que je viens de « retrouver », si tant est que le mot « retrouver » soit juste. En effet, nous nous sommes recontactés par des mails que nous avons échangés depuis quelques jours. Encore quelqu’un que j’avais perdu de vue depuis environ 25 ans. Mon premier copain de travail. Jusqu’à son arrivée, chez Scaïb, en 87 ou 88, j’étais très reclus, je ne me partageais peu, surtout avec les mecs. Mais lui, il m’a fait rire (parfois à ses dépens) et nous étions sans cesse en compétition pour les jeux de mots les plus pourris. Il m’a un peu ouvert à moi-même et donc aux autres, à une époque où j’étais plutôt coincé. Nous devrions nous revoir. Le temps aura fait son travail sur nous mais peu importe, nous n’avons jamais été dans une relation basée sur le physique. Lolo Néné est confiné dans le Berrrrry (ça donne envie de rouler les R, le Berry, non ?)

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