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7 novembre 2019

je m’en fous de Michel Platini, moi

Hier soir, j’étais enfin rentré chez moi après une longue journée bien chargée. J’ai atteint les 20 000 pas sur l’écran de ma montre connectée, était-ce d’ailleurs bien raisonnable ? Ce n’était pas à moi de le dire mais je l’ai dit quand même. Parce que, si je ne le dis pas, il n’est pas impossible que personne ne le fasse à ma place. Bref, entre le cours de gym avec mon coach, les différents allers et retours en ville pour aller voir le patron, promener les chiens, faire de vagues courses avec des choses plutôt lourdes à porter (pour un peu, je me serais cru à la salle de sports pour la seconde fois de la journée), j’ai terminé mon marathon en me mettant sur le canapé, devant C à vous, sur France 5. J’aime bien C dans l’air, aussi mais là, hier soir, je suis arrivé trop tard pour en voir autre chose que la fin.

Et là, après une espèce de début de somnolence, je me suis rendu compte que l’invité principal de l’émission, était Michel Platini. D’abord, j’ai fait la moue (j’aurais préféré faire l’amour mais on ne choisit pas toujours ce qu’on veut faire – mais attention, hein, pas avec Platini, qu’on ne se méprenne pas sur mes désirs et/ou mes fantasmes !...), puis j’ai haussé les épaules en maugréant intérieurement car franchement, s’il y a des invités qui m’intéressent guère (je n’ai pas osé écrire « qui ne m’intéressent pas du tout »), celui-ci en fait partie. Ne me demandez pas pourquoi, même sous la torture, je serais incapable de fournir la moindre explication. C’est juste comme ça. Il y a des gens qui… Il y a des gens dont on… Il y a des gens et surtout, il y a des gens… Et là, c’est le cas.

Parce que, quelque part (et même partout), je m’en fous (un peu, beaucoup, passionnément ?) de Michel Platini, moi. Je n’ai rien contre lui mais je n’ai rien pour, non plus. Peu me chaut de ce mec-là. Peu me chaut de savoir qu’il a des choses à dire. Peu me chaut de l’entendre rétablir sa (ses) vérité(s). Et je peux affirmer que cette émission d’hier ne restera pas dans mes annales. Ni dans mes anales. Non, pardon, celle-ci est de très mauvais goût. Considérez que je ne l’ai pas écrite. Faites comme si je n’avais rien dit. La faculté d’oubli est une qualité que toutes celles et tous ceux qui me lisent devraient avoir. En tout cas, j’ai quand même eu un beau rayon de soleil, en rentrant, quand il a commencé à faire nuit : je me suis vu dans une salle d’attente, cours Balguerie-Stuttenberg.

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