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29 juin 2019

il y a longtemps, la poésie et moi…

Il y a longtemps que je n’ai pas publié de poème dans ce blog. J’aimais bien ça, parfois, même si ça pouvait faire penser que j’étais en manque d’inspiration. De temps en temps, ça a pu m’arriver, par faiblesse, par fainéantise ou par fumisterie. Oui, ce sont mes 3 F principaux. Mais quand ça me prenait, quand l’envie me prenait (souvent par derrière puisque je ne la voyais jamais venir) et me surprenait, je cherchais quel texte je pourrais avoir l’honneur de présenter à mes rares lecteurs et trices (ou à mes rares lectrices et teurs, c’est selon comment on décide de se placer) et à chaque fois, je n’ai eu que l’embarras du choix. Mais j’ai toujours fini par céder. Par trouver. Toujours.

Je suis comme Jany, pour moi, les naviots, c’étaient des navets dans certains patois (pardon, dans certaines langues territoriales) et les champs de naviots, des champs de navets. Ça n’a jamais été les morts dans les cimetières. Ou alors, les morts pas très bons dans leur rôle de morts, alors. Ceci expliquerait cela. C’est vrai, il peut très bien y avoir des mauvais morts tout comme il existe des mauvais vivants, des gens méchants, des gens qui ne méritent rien, même pas le repos éternel, si tant est qu’il existe. Bref, les naviots, pour moi, c’était du légume, ni plus, ni moins. Le mot n’est pas très joli. Sa sonorité fait penser à glaviot et ça n’est pas ragoûtant. Ce n’est pas grave.

Comme je le disais au premier paragraphe, il y a longtemps que je n’ai pas présenté de poèmes dans ce blog et comme je serai absent pour cause de Biscarrosse pendant deux jours, de ce soir à lundi soir, je vais en profiter pour illustrer mes propos, ceux d’hier et d’aujourd’hui en vous offrant (rassurez-vous, ça ne m’a rien coûté, financièrement parlant – de toute façon, ce n’est pas le prix qui fait la valeur d’un cadeau) deux poèmes, un demain, dimanche et un, après-demain, lundi. Nous finirons le premier semestre et commencerons le second en trinquant avec des vers. Une façon de rendre hommage à ces deux esprits libres mais oubliés que sont Couté et Fombeure.

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Commentaires
M
Alors vivement demain 😉
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