are, ure, éril et autres
Je voulais faire mon malin en vous proposant un rébus que j’ai découvert quand j’avais moins de dix ans mais probablement plus de 8 ou 9 alors que nous habitions Senlis et que chaque année, nos parents nous offraient L’album des jeunes du Reader’s Digest et je me souviens avoir été frappé par l’intelligence d’un rébus dont la solution, qui m’a beaucoup plus, ne me disait pourtant rien. Il y était question d’un homme (probablement) que je ne connaissais pas et d’une chose le concernant. Et plutôt qu’en parler trop, justement, en voici la retranscription :
URE
ARE ÉRIL
Je voulais faire mon malin mais là, alors que je suis en train de publier ce billet, je me dis que cette espèce de petit trésor que représente ce rébus pas si simple, a priori, si ça se trouve, tout le monde le connaît. Enfin non, tout le monde d’un peu curieux et tout le monde amateur des mots et des jeux qui vont avec. Mais tant pis. De toute façon, comme il n’y a rien à gagner, je peux le publier quand même. On verra bien si je déchaîne les commentaires passionnés ou si ça reste silencieux, ce qui me va bien aussi. Et tant qu’on y est, de fil en aiguille, en voici un autre, un peu plus ardu :
P
LE A CHEZ SON N
Si. Finalement, il y aurait peut-être quelque chose à gagner. Toute mon admiration, toute ma considération et toutes mes félicitations. Ainsi que tant d’autres choses encore qui finissent en « tion ». Évidemment, ça n’a de valeur que pour ceux qui m’aiment bien, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie mais pour les partisans du pas du tout, je ne sais même pas ce qu’ils viennent faire ici, alors. Bon, faites travailler vos méninges et peut-être que la solution existe sur Internet mais c’est mieux de ne pas aller chercher sur Google, tant qu’à faire.