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9 juillet 2017

le toit ouvrant

« Mais Stéphane, pourquoi tu te promènes avec cette vitre teintée, contre toi ? » « Hein ? Quoi ? Ah ça ? C’est simple, c’est mon toit ouvrant. » « Ton toit ouvrant ? »

Quand je sors en ville, c’est super pratique. Selon le temps qu’il va faire, ça me sert toujours à quelque chose. En premier, s’il ne fait ni chaud, ni froid, ce qui ne me fait ni chaud, ni froid, en général, je l’emporte avec moi car on ne sait jamais. On n’est pas à l’abri d’une ondée, d’un gros orage ou d’un gros coup de soleil. Ou d’un caca de pigeon, allez savoir…

Donc, s’il ne se passe rien, temps moyen, ciel moyen, nuages moyens mais pas de pluie, pas plus de vent que ça et quelques vagues rayons de soleil, j’ai deux solutions, soit je le porte à bout de bras, soit je le porte contre moi, comme aujourd’hui. En revanche, s’il se met à pleuvoir, comme quand je suis piéton, je suis toujours décapoté, je le porte au-dessus de ma tête.

Mais s’il fait vraiment trop chaud comme ces jours derniers, je me dis que c’est trop bête de ne pas en profiter alors, au lieu de rester enfermé, je le porte contre moi, contre ça, j’ai la tête à l’air et je peux respirer et profiter de la douche chaleur de dehors. L’inconvénient, c’est que ça reste quand même un peu lourd, que c’est super fragile et que les bords sont tranchants.

« Et si tu prenais un parapluie, les jours où c’est nécessaire et juste une casquette les jours où il fait soleil ? » « Bof, en plus du toit ouvrant, après, je serais vraiment trop encombré. »

 

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