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25 juin 2017

comment ça, vous n’avez pas trouvé la réponse à l’énigme narbonnaise ?

Je n’en reviens pas, il y en a parmi mes trois ou quatre lecteurs, non, quatre ou cinq, plutôt, qui n’ont pas trouvé la réponse à l’énigme du petit train Interlude dans le billet d’hier. Pourtant, c’était vachement simple. Et même mieux que ça, plus simple, ce n’était pas possible. Même sans être jamais allé à Narbonne, la réponse était sous votre nez. Votre nez ? Que dis-je, votre nez ! C’est un roc ! C’est un pic ! C’est un cap ! C’est une péninsule ! Et de quoi donc sert cette oblongue capsule ? Mais je vous prie de m’excuser, je suis en train de m’égarer. Un moment d’inattention et hop, je me joue la grande scène du 4. Et là, je me dis que j’ai peut-être raté des occasions, dans ma vie.

Avant de digresser, je disais que la réponse à l’énigme de la charade d’hier était sous votre appendice nasal,  sous vos globes oculaires et juste au bord de votre sagacité mais certains (dont je tairai le nom) ont (lamentablement) séché et je vais donc vous donner la solution tout en me désolant que franchement, ceux qui ne sont pas joueurs, c’est vachement triste pour eux.  Moi, j’aurais adoré qu’on me la pose, cette devinette et je peux vous jurer que j’aurais fini par la résoudre quitte à y passer des dizaines de minutes. Peut-être en quelques secondes mais je ne voudrais pas non plus passer pour quelqu’un de présomptueux voire de prétentieux, en plus. Ce n’est pas mon genre.

Alors la solution, la voici : wagon numéro 1 : un canal ; wagon numéro 2 : le chiffre 2, wagon numéro 3 : la note « la » ; wagon numéro 4 : le mot « Robine » et mon tout est inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Alors ? Toujours pas ? Ah quand même ! Oui, c’est ça : Canal de la Robine. C’était pourtant vachement facile, non ? Fastoche, même. Maintenant, ce qu’est le Canal de la Robine ? C’est un canal qui relie l’Aude à la Méditerranée et avec un peu de chance, nous l’aurons vu pendant nos vingt-quatre heures sur place. Mais comme j’ai écrit ce billet vendredi dernier, je ne le savais pas encore à ce moment-là. Hélas ! Ce sont les aléas de quand ça n’est pas en direct. Ce qui est mon cas, là. 

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