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15 juin 2017

ça, c'est fait

Je m’en suis fait une montagne alors que ça n’a été qu’un petit tertre à escalader. Aujourd’hui, à 13h pétantes, c’était l’heure H pour pouvoir commander son abonnement pour le Grand Théâtre et l’Auditorium de Bordeaux, saison 2017/2018. Par habitude, surtout pour le Pin Galant, à Mérignac, je sais que c’est souvent très embouteillé, le jour de l’ouverture de la vente. Comme sur les sites marchands que peuvent être la Fnac, Auchan et Carrefour pour ne citer que ces trois-là. Je m’attendais aussi à galérer pour trouver des places qui me conviennent, si possible avec un strapontin pour moi et une vrai place pour le patron, avec qui j’y vais systématiquement.

Oui parce que je préfère avoir un strapontin pour mon petit cul car comme c’est moins confortable, d’une part, ça me donne moins de risque de m’endormir pendant la représentation et parce que je préfère être en bordure de rang pour sortir plus vite, non seulement en cas de besoin mais aussi à la fin, car les gens sont d’une lenteur pour se bouger, je ne vous dis que ça et moi, après un spectacle en soirée, compte tenu que souvent, je me lève tôt le lendemain matin, je n’aime pas quand ça traîner une fois que c’est fini. Quand le rideau est tombé. Et qu’on a largement assez applaudi. Alors voilà, je m’attendais donc au pire. Et le pire n’est pas arrivé. Comme c’est étrange !

Je n’ai non seulement pas galéré pour me connecter au site mais tout s’est passé très vite et même si je n’ai pas réussi à me louer un strapontin pour aucun des 6 spectacles sélectionnés, je ne suis malgré tout jamais en plein milieu d’une rangée, ce qui m’aurait particulièrement mis mal à l’aise. Vous savez quoi ? Je crains que je ne souffre d’une légère claustrophobie mêlée d’agoraphobie, avec l’âge. Enfin bref, tout ce que nous avions choisi, je l’ai eu les doigts dans le nez. Même le Requiem de Mozart. Alors ma foi, on peut dire que la journée n’est pas perdue. Et surtout, surtout, surtout, je peux me retirer cette chose de la tête car ça, c’est fait. Maintenant, je peux penser à autre chose. 

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