blocage des accès à ma pensée

On ne l’a pas vu venir, celui-là. Un mouvement social qui est parti d’on ne sait où et qui a décidé de bloquer tous les accès à ma pensée pour au moins vingt-quatre heures. En gros, ça signifie que je suis dans l’impossibilité totale d’écrire un billet dans mon blog aujourd’hui.

On ne connaît pas encore les revendications de ce mouvement social. On parle d’un groupuscule d’extrême migraine qui pourrait s’être infiltré dans mon organisme, physiquement parlant et qui aurait eu les clés du coffre-fort de mon intellect.

Du coup, ça va être dur. Sans l’aide de tous mes neurones, de 100% de mes neurones, je pense que soit je vais publier un ancien billet, soit je vais mettre un panneau dans mon blog pour dire qu’il est fermé jusqu’à demain. J’hésite encore. Je me tâte.

Il est évident que tout ça est indépendant de ma volonté et que je déplore cet empêchement à la libre circulation de ma pensée. D’autant qu’il n’y a eu aucun préavis et que je sais qu’aucune négociation est possible. Du moins, en apparence.

Je tiendrai mes rares lecteurs au courant de l’évolution de la situation que j’espère reprendre en mains dès la nuit prochaine et retrouver le cours normal de la publication de mes billets quotidiens dès demain. En bonne et due forme.