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28 janvier 2016

parentèles non confirmées

On en apprend tous les jours. Tiens, pas plus tard que ce matin, j’en ai entendu une bonne qui m’a mis sur le cul. Ça tombait mal vu que j’ai mal au jambon gauche depuis deux ou trois jours. Lundi matin, j’ai dû me faire un truc qu’il ne fallait pas lors d’un exercice avec le coach. Je me souviens très bien, j’étais sur le dos et nous faisions des mouvements vers l’arrière avec un bras dont la main tenait un haltère de 4 kilos et pendant ce temps, la jambe opposée montait et descendait dans le même rythme, un truc qui fait travailler les muscles et la coordination. Va savoir si je ne me suis pas froissé un nerf ou si je ne me suis pas coincé un muscle. À moins que ça ne soit l’inverse mais parfois, j’ai des lancements même quand je suis sagement assis, c’est dire… et c’est surtout très con car quand les autres me voient faire des grimaces, si je leur dis que j’ai mal au cul, c’est vulgaire et surtout, ils vont s’imaginer des choses, je ne vous dis pas.

En tout cas, ce que je voulais dire, avant tout, c’est qu’on en apprend tous les jours. Tiens, à la radio, sur Fip, c’est Marianne Faithfull dans The ballad de Lucy Jordan, c’est toujours un plaisir de l’entendre, cette jolie chanson et la voix rauque de Marianne, hmmmm, j’aime. J’aime tellement que ça me fait oublier que j’ai mal au cul. Et juste avant, c’était Christine and the Queens dans la reprise des Mots Bleus de Christophe. Décidément, quand on dit que la musique adoucit les mœurs, c’est tellement loin d’être faux que je vais même ajouter que la musique fait oublier le mal au cul. Oui, je sais, je me répète mais sachez que c’est 100% volontaire. On appelle ça un effet de style. Bon, je disais donc qu’on en apprend tous les jours. Et pas qu’un peu, des fois. Tiens, rien que ce matin, en discutant avec une collègue, on en est arrivé à parler de la rue Brian, à Bordeaux. Comment ? Vous ne savez pas où est la rue Brian ? Elle est à deux rues de la rue Thébeau, ça vous situe mieux ?

Bon, tant pis, là, je ne peux pas vous aider plus que ça. On parlait de la rue Brian avec Blandine et elle ne la connaissait pas alors qu’elle a vécu dans le quartier et donc, elle ne savait pas non plus que ça s’écrivait comme le prénom anglais et non pas comme le nom de famille d’Aristide ou de je ne sais plus qui encore. Rien à voir avec Dany Brillant qui lui, n’a aucun rapport avec Château Briand. Et ça, jusqu’à ce matin, je ne le savais pas parce que je ne m’étais jamais posé la question, tout bêtement. Mais maintenant que je suis sur mes gardes, je peux affirmer même sans l’avoir vérifié que Jean-Pierre Foucault n’est pas un descendant de Maxime de la Rochefoucauld. Il ne faut pas croire tout ce qu’on entend, parfois, ce sont des simples homonymes. Et non pas des pseudonymes. Il ne faut pas tout mélanger. Ça prouve aussi et surtout que les parentèles qu’on pourrait croire ne sont pas toujours confirmées. 

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