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25 janvier 2016

parasites

« Il s’accouda à la rambarde de la fenêtre. Et il se mit à réfléchir aux informations qu’il avait pu glaner au fil de ses rencontres. Tout d’abord, cette femme dans le bar mitoyen de la ruelle dans laquelle on avait découvert le corps. Cette femme dont il ne savait pas tout. Il la supposait accompagnatrice de charme mais, même sans certitude, il s’en foutait un peu. Ce n’était pas son propos… » Tchak iti ki tchack, tchak iti ki tchack, iti ki tchak, iti ki tchak, iti ki tchak

On non, pas encore ! Pas déjà ! C’est tous les jours, maintenant ! « Or, le professeur, il en était quasiment certain, ne lui avait pas tout dit sur son emploi du temps. Quelque chose ne collait pas avec ses horaires de cours… » Tchak iti ki tchack, tchak iti ki tchack, iti ki tchak, iti ki tchak, iti ki tchak, ziiiip, briiik, oh ces soldats de la cité-é, ziiiip, briiik, à la guerre ont jamais été, ziiip, briiik

« Il s’accouda aux indices de la fenêtre » tchak iti ki tchack, tchak iti ki tchack, iti ki tchak, iti ki tchak, iti ki tchak « il se mit à réfléchir aux rambardes… il s’accouda à la rambarde de la fenêtre. Et il se mit à réfléchir… » tchak iti ki tchack, tchak iti ki tchack, iti ki tchak, iti ki tchak, iti ki tchak, ziiip, briiik, tchikaboum, tchikaboum, et matant son lecteur DVD avec son blouson délavé, ziiip, briiik, tchikaboum, tchikaboum…

« Il s’accouda à la rambarde de la fenêtre » non, ça, je l’ai déjà lu. J’étais un peu plus loin… Ah oui, au niveau du professeur...Tchikaboum, tchikaboum. « Quelque chose ne collait pas avec ses horaires de cours. Et sans doute que quelque part par-là, se trouvait une des clefs de l’énigme. Parce que ça ne pouvait pas se faire autrement. Il connaissait la victime » Tchikaboum, tchikaboum, tchikaboum boum boum, ziiip, briiik, oh ces soldats de la cité, tchikaboum, tchikaboum, tchikaboum boum boum…

« Il s’accouda à la rambarde de la fenêtre. Et il se mit à réfléchir… » Ziiip, briiik, oh ces soldats de la cité… « Il s’accouda à la rambarde de la fenêtre. Et il se mit à réfléchir… » Ziiip, briiik, tchikaboum, tchikaboum, tchikaboum boum boum. Non, j’abandonne, c’est trop dur de lire avec ces mômes qui écoutent leur « musique » sur leur portable. Ils me brouillent l’écoute. Si je puis contre-péter dans mon coin.

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