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6 novembre 2013

bagage intellectuel

Hier, j’ai évoqué (un peu plus longuement qu’une simple évocation, certes) les mots-valises et aujourd’hui, ça me démange de remettre le couvert et de donner quelques autres exemples que j’ai pu inventer et dont je peux retirer une certaine fierté. Parce que, qui sait si un jour, je n’entrerai pas dans le futur dictionnaire des mots-valises ? Qui sait si je n’aurais pas mon nom dans un abécédaire de la langue française et de ses jeux de mots ? Qui sait si je ne serais pas dans une table des matières à la lettre G ? Au point G du calembour.

Alors voilà, ce matin, au travail, alors que j’avais l’esprit légèrement en vagabondage, je réfléchissais à d’autres vues de l’esprit que celles, étriquées, liées à mon travail. Et je m’évadais vers d’autres cieux. Vers mes cieux. Merci messieurs. Et j’ai recopié certains mots qui ont fini par me revenir sur le bout de la langue alors que je pensais très fort. Mais vraiment très fort. En retenant ma respiration pour être encore un peu plus concentré que le minimum syndical. Et j’ai fini par pondre quelque chose et par reprendre mon souffle.

Un des premiers mots-valises que j’ai inventés, c’est : boulanger. Un boulanger, ce n’est pas qu’un artisan pétri de bonnes intentions, ce n’est pas qu’une bonne pâte (à pain), ce n’est pas non plus qu’un homme que sa femme mène à la baguette, non, un boulanger, c’est aussi une petite poupée. Oh, oh, oh, jolie poupée sur mon doigt coupé… C’est donc un pansement sur un bout de doigt. Un Mais ça peut aussi être un préservatif enfilé vu du côté réservoir. Oh, oh, oh, jolie poupée, faite de bois bandé….Dans les deux cas, ce n’est rien de plus qu’un bout langé.

Le deuxième que j’ai retrouvé au fond d’un tiroir de mon esprit encore un peu vif, c’est loufoque. Et avant de vous en donner ma définition, je vais vous donner un indice même si je pense que j’ai tort car il va vous mettre tout de suite sur la voie. Surtout pour les amateurs de la chose. De la chose en question. Si je vous dis : Tex Avery… Ça vous aide ou pas ? Alors, je vais vous donner la solution parce que je suis comme ça, moi : un loufoque, c’est le croisement entre un loup et un phoque dans un dessin animé ou une bande dessinée absurde.

Et le dernier mot-valise gue j’ai choisi de vous offrir, aujourd’hui, c’est gargouille. Une gargouille, au féminin, c’est une partie de gouttière en forme d’animal ou d’être imaginaire gui peut être en métal ou sgulptée dans la pierre. Mais dans le gas gui nous préoggupe, c’est aussi un slip pour hommes qui n’en ont plus gu’une seule. Oui, oui, ça existe. Et gomme on ne peut pas dire slip pour un meg qui en a perdu une, on se doit de dire un gare-gouille. Avec un défaut de prononciation qui empêche de bien prononcer le C. Je sais, ce billet est gomplètement FTG*.

* Foutage de gueule.

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