Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
C'est écrit
18 octobre 2013

pince sans rire

Personne ne m’avait pas dit que ça ne se passerait pas aussi peu comme ça ne se passe jamais sauf dans les rêves qu’on ne fait presque jamais que dans la vraie vie et encore… Elle est compliquée, cette phrase mais c’est parce que j’ai envie de partager ma migraine avec tout le monde. Et mon stress. Et mon angoisse croissante. Parce que là, je suis dans le compte à rebours et bourre et ratatam et sonnez trompettes et battez tambours, qu’on se le dise (ou pas), il y en aura pour tout le monde, c’est happy hours, open bar et carte de fidélité pour tout le monde. Et vous pouvez faire la queue pour avoir du rabe, il y a du stock en veux-tu, en voilà.

De toute façon, je crois que j’en suis sûr : je suis plus piqué que ce que je veux bien avouer ou ne pas reconnaître. Et je ne suis pas au bout de mes surprises parce que je le serai encore plus, sauf contre-indication ou contrordre d’ici là, dans trois jours. Il me reste trois jours. Trois jours de liberté ? Trois jours d’insouciance, plutôt. Trois jours de jeunesse avant de me faire épingler sur le tableau de chasse d’un qui, je l’espère, ne s’appelle pas Lagaffe. Sinon, je ne suis pas dans la panade. Je ne serai pas dans la mouise. Je ne serai pas, tout simplement. Et ça va se faire (ou pas ?) dès le matin. De bonne heure. Et dans l’après-midi, où il me faudra peut-être en découdre. Pique et pique et colégram.

Avec mon ennemi et ses armes d’attaque. Ses armes de destruction massive. Si encore c’était Cupidon et sa flèche d’amour. Si encore c’était un athlète aux jeux olympiques avec son javelot. Si encore c’était un pompier avec sa lance à éteindre les feux de paille. Mais non, ce sera un psychopathe de l’intromission en surface, un aiguilleur même pas du ciel. Je vais y passer quoiqu’il m’en coûte et quoiqu’il faille m’en recoudre. D’abord pour faire une analyse cent pour cent. Ensuite pour tenter d’éradiquer toute la vermine qui est en moi. Il faut savoir souffrir pour ne plus avoir à souffrir. C’est ce que je commence à me dire.

Publicité
Publicité
Commentaires
M
ce ne sont ni dards venimeux, ni intromission douloureuse, juste un bref effleurement chatouilleux, une pointe de piquant même pas celle d'un oursin.<br /> <br /> Arnica et tout glissera, à en redemander.<br /> <br /> keep cool.
Répondre
C'est écrit
Publicité
Newsletter
Visiteurs
Depuis la création 199 280
Archives
C'est écrit
Publicité