24 septembre 2013
équinoxe
Entre l’aube renaissante du printemps
et le crépuscule latent de l’hiver
la frontière est bien vague à mon corps
Et je m’en vais lent
Tout alentour de moi reste si vert
que j’y pense tant et tout le temps
j’ai sommeil et veux dormir… je m’endors
Et je m’en vais lent
Si longtemps attendus ô tous mes amours
amants que nous fûmes amants d’une nuit
vous retrouver au-delà de ce monde fragile
Et je m’en vais lent
Mais encore je veille et je veille toujours
Sur cette vie qui n’a pas de prix
Pierre, Paul, Jean… mais de quel évangile ?
Et je m’en vais lent…
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