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9 mai 2013

il pleut, il mouille

Il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille. Déjà ce matin,  je suis allé chercher du pain et des pâtisseries en ayant pris soin de me protéger de ces quelques gouttes qui tombaient déjà. Je pensais que me protéger mais surtout, protéger le pain, ce ne serait pas une si mauvaise idée que ça. D’autant qu’il fallait aussi faire attention aux gâteaux. Finalement, j’ai pris quelque chose de consistant mais sans crème. Des tartes rectangulaires aux fruits rouges. Un peu comme avec des amandines. Et j’ai bien ressenti cette humidité que je redoutais un peu. C’était ainsi. Ce fut.

Il pleut, il mouille, c’est la fête à la quenouille. Vers 10h30, je suis allé à Cabirol pour finaliser deux ou trois choses en prévision de notre voyage en Toscane, dans une dix-huitaine de jours. Notamment, réserver les billets pour la tour penchée de Pise car depuis que je suis petit, cette tour m’intrigue et donc, y aller sans monter dedans, ça n’aurait pas eu de sens, pour moi. Et j’ai pris mon parapluie car même si ce n’est pas bien loin, Cabirol, j’avais le temps de largement me mouiller car la pluie était devenue un peu plus consistante. 

Il pleut, il mouille, c’est la fête à la pattemouille. Après le déjeuner et les tartes rectangulaires aux fruits rouges, j’ai fait la vaisselle et j’avais de l’eau jusqu’aux poignets. Et dehors, il pleuviotait. Mais je m’en foutais, je n’avais pas besoin de parapluie dans la cuisine. Ensuite, je n’avais plus qu’à passer le temps avant de sortir pour aller à la salle de gym, j’avais un cours avec mon coach, à 16h. Là, j’ai enfilé ma casquette de tous les jours, j’ai pris mon gros sac et j’ai surveillé un tram qui arrivait pour éviter de me mouiller. Et j’y suis arrivé. 

Il pleut, il mouille, c’est la fête à la patrouille. Pendant le cours, avec Benoît, j’ai, nous avons travaillé beaucoup le dos et le reste du corps. Nous avons eu très chaud et nous avons un peu transpiré comme si l’humidité de dehors ne suffisait pas. Déjà que je m’étais fait trente minutes de tapis de marche rapide avant l’heure… Je dis « nous » parce que je suis deux, au cours avec Benoît. J’y vais avec Jean-Marie. Le temps passe plus vite à deux. Et les exercices sont moins difficiles quand on les partage. Et puis, et puis, et puis, forcément, après tout ça, ce fut le moment tant attendu de la douche. Mouillé pour mouillé… 

Il pleut, il mouille, c’est la fête à la papouille. Nous sommes sortis un peu exténués du centre de remise en forme. Avions-nous raté notre but ? Je ne sais. Quoiqu’il en soit, il pleuvait à verse et tant et plus et encore tant et toujours plus. Jean-Marie avait bien un parapluie mais trop petit pour deux. Pas comme le cours avec Benoît. Alors, je me protégeais à moitié, comme en gainage latéral, en marchant et mon sac, de l’autre côté, prenait l’eau de toute part et ma bouteille de Badoit aussi, elle a pris l’eau parce que je l’avais gardée à la main. C’est nul. 

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P
certain que la badoit pétillait de plaisir, de l'eau plate, c'te chance elle vivait une nouvelle aventure.
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